Votre recherche “Auteur: Michel Arnaud” 4 résultats
Ajouter à une liste
Éditeur :
Gallimard, 1978
Trois nouvelles : trois lumières, trois douleurs. De la première phrase du recueil : "À cette époque-là c'était toujours fête", aux derniers mots recouvrant d'un calme linceul le corps d'une suicidée, l'écriture fouille le plein jour de l'activité humaine jusqu'à y toucher le néant et la mort. Un peu comme un oeil fasciné passe et repasse sur la blessure d'un beau visage. C'est la fêlure d'angois...(Lire la suite)
Ajouter à une liste
Éditeur :
Gallimard, 2001
"Clelia avait une façon extatique de jouir du soleil, étendue sur les rochers, de se fondre avec ceux-ci et de s'aplatir contre le ciel, répondant à peine d'un chuchotement, d'un soupir ou d'un geste brusque du genou ou du coude aux brèves paroles de la personnes qui était à côté d'elle. Je m'aperçus bientôt que, lorsqu'elle était étendue ainsi, Clélia n'écoutait vraiment rien. Doro, qui le savai...(Lire la suite)
Ajouter à une liste
Éditeur :
Gallimard, 1955
Trois nouvelles : trois lumières, trois douleurs. De la première phrase du recueil : "A cette époque-là c'était toujours fête", aux derniers mots recouvrant d'un calme linceul le corps d'une suicidée, l'écriture fouille le plein jour de l'activité humaine jusqu'à y toucher le néant et la mort. Un peu comme un il fasciné passe te repasse sur la blessure d'un beau visage. C'est la fêlure d'angoiss...(Lire la suite)
Ajouter à une liste
Éditeur :
Gallimard, DL 2014
Le 27 août 1950, dans une chambre de l'hôtel Roma, à Turin, Cesare Pavese se tuait en absorbant une vingtaine de cachets de somnifère. Sur ce suicide, il n'y a pas de meilleure explication que le journal intime découvert après sa mort : Le métier de vivre. Les réflexions sur le "métier de vivre" qu'on lira ici sont d'une qualité exceptionnelle. L'homme était vraiment à la mesure de l'écrivain, le...(Lire la suite)